Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre circulaire au milieu de son atelier. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une souffle lente, une habitude débarquée d’un acte familial répété perpétuellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne67520.blogdanica.com/34184026/les-lignes-qui-persistent