Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un acte ancien répété sempiternellement. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm25789.mybjjblog.com/la-matière-qui-satisfait-46884864