Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une respiration lente, une accoutumance parvenue d’un geste ancestral répété à tout moment. https://lanelrtts.blogvivi.com/34840474/la-matière-qui-satisfait