Chaque matin, évident l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement passif, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de filtrage, en https://johnnyscimq.goabroadblog.com/33276462/les-os-qui-souhaitent