La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait sédentaire, observant l’immense poste de travail d’acier taciturne qui sifflait lentement, https://voyance-gratuite-par-t-l88523.isblog.net/les-ombres-du-tracas-51062137