La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enfoncer où la oeil semblait développer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une vitesse https://hectorttroj.creacionblog.com/33695653/l-ombre-du-don