La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son exercice professionnel dans l’ombre tamisée de son manufacture. Son job à mentir, fidèle chien ou chat de ses visions silencieuses, laissait se modifier des fils d’or et de soie entre ses mains. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui https://juliusalveo.blogaritma.com/32118421/les-fils-du-sort