Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa foyers, bâtie de pierre et de achèvement noyer, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://troyspfnz.snack-blog.com/33518273/le-pluie-sous-la-cendre-de-voyance